Contes du Northland

| | 1 commentaires
Camille et moi allons essayer de vous décrire les 2147 premiers kilomètres. Nous avons passé 6 jours à sillonner les routes du Northland. Pour notre première grande virée on est plutôt contents contents. Pour ceux qui s’attendent à du camping, du mosquitos et des saucisses cuites sur le moteur, vous allez être servis.

Contes du Northland - Chapitre 1

| | 0 commentaires »
Whangarei (Wh se prononce « f » mettez vous un grain de riz entre les dents du milieu). (21 et 22 novembre)
Pour cette première étape, nous nous sommes établis pour deux nuits dans un backpackers niché en pleine nature. (Litlle Earth Lodge.). Durant ces deux jours et malgré un temps cloudy (nuageux en français), nous avons débuté notre visite par les chutes de Whangarei. Puis, impatients de voir un vrai kiwi (symbole de la Nouvelle Zélande), nous sommes allés à la Kiwi House. Le kiwi est un animal qui vit la nuit et qui plus est : très peureux. C’est probablement pour ces raisons que nous n’avons pas pu le voir. Bien qu’il fut dans un vivarium et plongé dans l’obscurité, il n’a pas pointé le bout de son bec (très long d’ailleurs). (Nous savons que son bec est long car nous avons vu sa famille empaillée à l’entrée de la maison). Après une heure d’attente sans bouger, nous nous résignâmes. L’âme en peine nous avons repris la route pour nos premières plages :Ocean beach et Pataua south. C’est également là que nous avons subi notre première attaque de mouettes. Pour ceux qui ont vu : « Les oiseaux » d’Hitchcock… bah pareil. Avant d’arriver sur ces plages des petits monts tout verts et tout doux vous entourent. (« on a envie de les caresser tellement ils ont l’air doux » dit Camille). Puis tout d’un coup, l’unique route sur laquelle vous êtes s’arrête dans le sable d’une plage magnifique. Ce qui est fort appréciable c’est que la majorité de ces endroits ne sont pas pollués par des clubs Mickey, des baraques à frites, et autres complexes ""lucrato-estivantielles"".

Contes du Northland - Chapitre 2

| | 0 commentaires »
Matapouri, Porte bien mal son nom (23 Novembre)
Avant Matapouri nous sommes passés par Tutukaka mais on n’en a pas vu la couleur. (Vraiment de drôles de noms pour de si beaux paysages.). Cette plage nous a été recommandée par David & Mélissa (Merci Mickaael). Nous ne fûmes pas déçus. Lorsque vous sortez de la voiture, vous vous voyez déjà avec un torse poilu, un slip bleu et un poignard à la chevillle, ranimant une belle créature sauvée in-extremis de la noyade. « Mon nom est Bond…James Bond ». Bref une mer douce caresse les rochers. Ces mêmes rochers façonnent le paysage et donnent à la plage un charme fou. Vous y êtes bien. What a f***ing amazing place, comme dirait l’autre.
Tu prends l’apéro ? (23 Novembre)
Troisième nuit et premier camping. Cette partie me permet de vous présenter une nouvelle venue dans la famille : Toutoune. Petite tente de 3 places, elle nous a rejoint le 23 pour nous abriter les soirs de camping. C’est donc à Kerikeri que nous avons élu domicile et plus précisément au Pagoda Lodge. (Camping protégé par un boudha géant et tenu par un anglais so British.)
Tongues sorties nous montâmes en une minute chrono notre bivouac. Les vivres à peine sorties nous fûmes attaqués par des canards affamés. ( Ils avaient de grandes dents et de longs sourcils. C’était horrible). L’extinction des feux à 22h fut accompagnée par l’intégrale d’Elvis que 3 allemands écoutaient à fond. Nous avions oublié que le sol… c’est dur... Pourtant nous avions des tapis de sol. Vous l’aurez compris cette première nuit au camping ne fut pas terrible.

Contes du Northland - Chapitre 3

| | 2 commentaires »
Un peu d’histoire dans beaucoup d’eau turquoise (24 Novembre).
Le dos et la fesse plate comme une planche à pain, nous partîmes à l’aurore pour acheter un matelas gonflable pour nos prochains campings. « Tu prends l’apéro ? ». Patrick comme tout V6 qui se respecte, nous emmena sans encombre à Waitangi. Ce lieu est celui où fut signé le traité qui lia La Nouvelle Zélande à la couronne d’Angleterre. Pas très féru de visite guidée, peuplé de vieux touristes américains, nous fîmes une longue balade dans la forêt et la mangrove de Waitangi. Traverser la mangrove est assez marrant. Vous avez l’impression qu’une marée de boue a submergée une forêt ne laissant apparaître que la cime des arbres. L’environnement est assez fantomatique.
L’après midi nous nous dirigeâmes vers notre deuxième camping. « Tu prends l’apéro ? » Sur la route nous découvrîmes de splendides paysages. Patrick insista pour s’arrêter à Matauri bay. C’est magnifique. La mer est d’un bleu hallucinant. Nous étions tout simplement scotchés par beauté des paysages qui bordaient notre route. C’était juste trop chant-mé (comme dit le jeune à la mèche indisciplinée). Après plusieurs heures de road nous plantâmes notre tente dans un camping…désert. Nous étions les seuls occupants. Il y avait juste une balançoire qui grinçait légèrement sous l’action du vent. Ca faisait penser à un village abandonné après une contamination étrange. On se sentit observé par des mort-vivants en manque d’hémoglobine. Bon ca va on est seulement en hors saisons nous dit la charmante femme de l’accueil (qui ne ressemblait en aucun cas à un Zombie). La nuit fut paisible à Taupo bay.

Contes du Northland - Chapitre 4

| | 0 commentaires »
Le monde est petit c’est moi qui vous le dis. (25 novembre)
Prenant mon rôle de photographe très à cœur je cours prendre quelques clichés de la très sympathique plage de Taupo Bay. A 9h du matin qui était sur la plage ? Camille, moi et… Elodie Perrot ! Nous avons fait notre maternelle, notre primaire et notre collège ensemble. Après s’être échangés nos tel et des bon plans nous reprîmes, amusés nos routes respectives
Mieux que sur une carte postale
C’est à nous yeux la plage la plus belle que l’on ait vue pour l’instant. Rangiputa est une plage ou le sable est plus blanc que blanc (comme dirait Coluche). Ce blanc immaculé s’accorde parfaitement avec le bleu turquoise de l’Océan Pacifique. Cette fois-ci nous étions seuls au monde. (Comme dit Camille c’est la liberté). Ivres de bonheur nous prîmes la direction du Nord pour notre ultime étape : le Cap Reinga.

Contes du Northland - Chapitre 5

| | 0 commentaires »
Au bout du bout de l’île du Nord. (25 Novembre)
Après 700 bornes dans la courroie on posa Patrick sur le parking du cap. Puis là nous prîmes une nouvelle fois une claque. Nous étions sur le c… euh sans voix pardon. C’est l’émotion. L’immensité de l’océan et la hauteur hallucinante des falaises (311m), ne manquaient pas de nous rappeler que nous ne sommes pas grand-chose face à dame nature. Afin de nous situer sur la planète des panneaux indiquaient Londres à 18 000 kms, Vanvcouver à 11 000 kms (Hi Relette !) et d’autres grandes villes du monde. Pour les Maoris, le Cap Reinga est le lieu d’où partent les esprits. « Te Rerenga Wairu ». Un peu fatigués par le voyage on se réserva les balades du Cap pour le lendemain. Nous posâmes donc nos affaires au camping de Tapotupotu Bay (les « u » se prononçant : « ou »). Cette troisième nuit de camping fut un enfer, malgré notre équipement. Nous livrâmes une bataille perdue d’avance, contre 150 mosquitos assoiffés. Nos nez se transformèrent en bonne grosse framboises.
2 moments magiques pour un Homme ...et sa voiture. (26 Novembre)
Premier moment : Lors de notre mini randonnée sur les crètes du Cap Reinga nous eûmes la
chance d’apercevoir une baleine. (Photos bien zoomée à l’appui). Jean-Corinne la baleine (on ne sait pas si c'était un mâle ou une femelle, d'où ce prénom androgyne) nous accompagna donc tout au long de notre marche. En plus de bénéficier d’une vue magnifique Jean-Corinne nous fit l’honneur de sa présence. Nous étions comblés Deuxième moment : Patrick fit son baptême de mer en prenant son premier ferry, direction Opononi, ville de notre quatrième camping.
Vous connaissez l’histoire du dauphin et de la dynamite ?
Opo est le nom d’un dauphin qui fut recueilli dans les années 50 par les enfants du village. Alors qu’il devenait la mascotte du village le dauphin fut explosé par un marin mystérieux. En souvenir de ce mammifère lâchement dynamité le village porte son nom.
Départ vers le centre de l’Ile du Nord (29 Novembre)
Nous voilà arrivés dans le Coromandel où nous avons passé une nuit au camping puis nous avons pris la route vers Coromandel Town. Nous sommes actuellement dans ce backpackers puis nous reprendrons la route direction Rotorua.
On va en bouffer du goudron.
A bientôt pour de nouvelles aventures!

My-tsubishi

| | 7 commentaires »
Une nouvelle fois la marque aux trois losanges a su allier avec finesse : confort et sportivité. La Mitsubishi GALANT, dernière née de la firme nipponne, souligne une nouvelle fois le talent des designers japonais. Cyril Devret d'M6 Turbo nous dirait : "Quand Misthubishi réussit la parfaite Alchimie entre la mécanique et le plaisir, que faire d'autre sinon d'écouter le chant d'un V6 ? Les superlatifs ne sont pas assez fort pour qualifier cette merveille."
Comme on dit dans le jargon des garargistes : "elle grimpe aux arbres". Je finirai mon exposé version cambouis en citant Eddy Mitchel. "Même à 6000 tours t'en as encore sous le pied."(Le bonheur est dans le pré)
Camille et moi avons surnommé notre voiture: "Patrick" en hommage à Patrick Swayze. Dorénavant, lorsque que nous parlerons de Patrick ou de Patrick GALANT vous saurez donc de qu'il s'agit.
Voilà les présentations sont faites. Dès vendredi, nous partirons tous les trois à la conquête du Northland. Notre première étape est Whangarei, lieu célèbre pour ses chutes d'eau.
On vous kiss tous. Camille, Patrick et moi.
P.S. Ah oui j'allais oublier. Elle fait Bip quand on l'ouvre et Bip-Bip quand on la ferme. Comme dans les films! Top la classe la tire.

The Seafield's Fashion Day

| | 2 commentaires »
Samedi matin nous avons dû nous lever à 7h30 pour préparer l'événement le plus hype de toute la Pine Harbour Cost : The Seafield Fashion Day !
En France, nous connaissons les réunions Tupperware. Celles-là même, organisées au domicile d'une ménagère volontaire, désireuse d'avoir une boite à fromage gratuite. Et bien ici ce ne sont pas des boites (box en anglais) que l'ont vend mais des vêtements de créateurs (en l'occurrence une créatrice.)
Un peu stressée Stéphanie distribua les tâches. Ne comprenant pas tout je fis mine que j'avais totalement saisi l'ordre. Fort heureusement Camille est là pour traduire. Ah oui j'oubliais. Quand un "je" est employé dans une description expliquant une incompréhension de l'anglais, ne cherchez pas qui parle. C'est forcément moi : Edouard. Camille n'a pas ce problème.
Bref revenons à nos sheeps (moutons en anglais. C'est pour maman). Samedi matin nous avons jardiné...pause...nettoyé...pause...frotté...pause...aspiré...pause...déplacé...pause...écouté...pause...fait semblant de comprendre...pause...re-nettoyé ...pause...repeint...pause...ris. Un indien électricien (que l'on surnomme :"Tandori" de manière très amicale attention) subissait lui aussi la pression de Stephanie.
A 12h30 tout était fin prêt. La terrasse était nickel. Toutes les feuilles des arbres étaient tournées dans le même sens et les vingt chats de Stephanie étaient coiffés d’une raie au milieu et furent chaussés de petits souliers vernis. Nous eûmes le droit de nous reposer jusqu'à l'arrivée des premières invitées. 1h fut suffisante pour une sieste, une douche (rappelons le dans une salle de bain de 30m²) et un sandwich. David et moi furent chargés d'orienter les 4x4 vers le parking. Camille et Mélissa quant à elles, s’appliquaient à servir ces dames fraîchement poudrées.
Le défilé commença à 15h30. David et moi attendions avec impatience les premiers modèles marchant d'un pas décidé devant les guests. Nous ne fûmes pas déçus. Les vêtements sortaient d'une autre époque, David estima qu’ils étaient issus des années 80. Pour vous faire une idée précise et rapide du style, rappelez-vous des t-shirts sur lesquels nous faisions des nœuds et que l'on plongeait dans la javel. De cette manipulation ressortait des formes...particulières dirons nous. Si vous ne voyez pas, les photos parleront d'elles mêmes.
Ce qui fut particulièrement drôle c'est que l'on se croyait dans un mix d'amour Gloire et Beauté et de Dallas. Pendant que des mannequins hors d'âge (cf photos) glissaient sur la terrasse, Sue Helen sirotait tranquillement son vin blanc dans un verre à Cognac.
Bien évidemment nous avions tous les ingrédients de ces célébrissimes séries. L'alcool, les regards en coin de femmes jalouses et cerise sur le gâteau : la femme aux formes, à notre avis, very expensive. Nous l’avons baptisé : IRON-BOOBS.
Pourquoi IRON BOOBS?
Lorsqu'elle marchait, le martellement des ses talons sur le sol faisait tout balancer sauf sa poitrine. Nous en déduisîmes donc qu'il s'agissait comme on dit dans le jargon médical, d'implants mammaires.
Ce qui rendit cette expérience intéressante, c'est que nous sommes tombés sur le contre exemple de la Femme kiwi. A ce défilé nous étions entourés de femme qui riaient tellement fort qu’elles firent péter toutes les vitres de la maison. Elles ponctuaient toutes leurs phrases par "O my God it's just amazing!"
Il suffisait de voir le parking pour se rendre compte que plus c'est gros plus c'est chic. Ca allait donc de la poitrine à la voiture en passant par les lunettes de soleil.
Bref c'était bien marrant.

The drunk nephew

| | 1 commentaires
Samedi 14 novembre : branle bas de combat à Seafields. Petit déjeuner express à 7h30, nous avons à peine le temps d’avaler nos tartines et de nous ébouillanter avec notre café que nous voilà déjà en train d’aspirer, de briquer, désherber, déplanter, replanter, frotter, car il faut que la propriété - déjà parfaite- ne laisse place à aucune herbe folle, aucune feuille morte pour accueillir THE fashion show. En France nous dirions plutôt qu’il s’agit d’une réunion Tupperware… Bref, une créatrices vient exposer ses habits en soie peinte portés par 12 modèles. Nous reviendrons à ce défilé plus tard car avant cela un évènement assez insolite s’est déroulé le matin alors que nous vaquions chacun à nos tâches ménagères.
Après avoir fait briller la cuvette des toilettes, je fus consignée au ramassage des feuilles mortes. Alors que je m’exécutai, voilà que je vis surgir une forme imposante, le visage couvert de peintures rouge et jaune, qui se dirigeait vers moi les pieds nus en se grattant le ventre. Plutôt effrayée, je pars rejoindre Edouard, Mélissa et David qui nettoyaient la piscine. Là je préviens la propriétaire qui était avec eux : « Steffany, there’s someone in the garden ». Reconnaissant l’individu, elle nous crie gênée : « This is Richard my drunk nephew ». Et en effet, le Richard, il était sacrément bourré. Il se dirige vers la piscine dans laquelle il voulait se soulager et commence à se déculotter sous nos yeux ébahis. Steffany, dépassée par cette scène, lui demande poliment de partir car elle attend des invités. N’ayant que faire des injonctions de sa tante, Richard insiste pour aller faire un tour dans l’eau. Heureusement pour Steffany qu’Edouard et David étaient là en bodyguards. Ils ont donc, poussé Richard en dehors de la propriété qui proférait des insultes à l’égard de sa tante.
Après cette mésaventure, c’est la première fois que Stephanie dit merci.

Wwoofers forever

| | 11 commentaires »
Nous avons quitté le centre ville d’Auckland pour rejoindre David et Melissa qui faisaient du WWOOFING depuis une semaine. Du quoi… ? Nous direz-vous. En fait le wwoofing est un système d’échange permettant à des kiwis de loger et nourrir des voyageurs en échange de quelques heures de service par jour. C’est une solution idéale puisqu’elle permet non seulement de vivre au rythme kiwi mais surtout d’économiser de l’argent.
Pour notre part nous avons une chance immense. Nous sommes wwoofers chez une dame qui possède un lodge de luxe.(voir www.seafields.co.nz ) Elle propose des chambres d’hôtes haut de gamme avec vue sur la mer, piscine débordante… bref, c’est assez inaccessible pour de pauvres petits voyageurs comme nous. Malgré notre statut de wwoofers nous sommes logés à la même enseigne que les guests (ici on prononce guists). Nous sommes dans une chambre d’environ 70m² avec baie vitrée et vue sur la mer, une salle de bain high tech, bref, tout ce que l’on rêve de trouver dans une chambre à 500$ NZ la nuit (250€). Tout ce confort nous est offert en échange de 4h de travail le matin. Pour notre première journée nous avons lavé les baies vitrées et fait du jardinage. Edouard a nettoyé la piscine. Et tout cela dans une super ambiance !
Comme nous avons l’après-midi de libre, nous en avons profité pour aller faire un tour dans les hot water pools, des piscines avec de l’eau naturellement chaude allant de 38° à 41°. Malgré la pluie qui nous tombait sur la tête nous étions comme des poissons dans l’eau. Cet après-midi nous allons nous concentrer sur la recherche d’une voiture.
Nous resterons une semaine au moins chez Stefany (notre hôte) avant de prendre la route vers d’autres contrées Néo Zélandaises. Nous essaierons également de continuer à voyager avec la formule du wwoofing en plus cela nous permet de nous habituer à l’accent d’ici qui n’est pas forcément facile à comprendre. Petit exemple : pour dire bread ils prononcent brid, a bed … a bid et tout cela avec une intonation très british. Parfois il arrive que l’on nous pose une question et nous acquiesçons bêtement alors que la personne attend une réponse. De grands moments de solitudes en perspective…

Auckland city & gros dodo

| | 1 commentaires
Enfin arrivés! Les 27 heures de voyages, les chinois qui se raclent la gorge en pleine nuit ne se souciant pas de savoir si ça réveille ou dégoute les autres passagers et l'atterrissage un peu mouvementé, ont quelques peu marqués les organismes, notamment l'estomac de Camille. l'aéroport d'Auckland s'en souvient.
Passant les détails inutiles, nous avons eu la chance d'être accueillis par David et Melissa, (David et Camille jouaient dans le même groupe de musique. )
Autour d'une pinte et du "Roast of the day" ils nous ont très gentiment brieffés sur les premières démarches à faire, les endroits à visiter etc...
Auckland 1,2 millions d'habitants.
Le premier constat que l'on fait lorsque l'on déambule sur Queen street (le Champs Elysées d'Auckland) est que le tuning doit être le deuxième sport après le criquet. C'est hallucinant. Il n'y a pas une voiture sans la petite personnalisation de l'heureux propriétaire.
Pour nous rendre compte de l'étendue (1000 km²) de la ville qui nous accueille, David et Melissa nous ont amenés au sommet d'un des volcans qui surplombe Auckland: le Mont Eden. Mis à part les buildings du centre dominés par la sky tower (328 m de haut), Auckland est un espace hyper vert couvert de petites maisons (notre Backpackers en est un bel exemple ). La mer est un des principaux éléments qui structurent Auckland. (D'ailleurs chose agréable, le roucoulement des pigeons collants de Paris est remplacé par le chant des mouettes).
Bien que nous soyons arrivés à 13h, la fatigue nous empêche de nous enfoncer dans les quartiers d'Auckland. Nous ne manquerons pas de vous exposer, plus en détails, les particularités de la ville demain soir (ou après demain matin pour les Français).
Grod dodo

Lost in transit

| | 1 commentaires
Bonjour tout le monde,
nous voilà arrivés à Hong Kong après 11h de vol depuis Londres, 4 plateaux repas, 50 films, 73 sourires d'hôtesses et quelques heures de repos.
Nous avons pris un Airbus A340 avec la Cathay Pacific et le service est vraiment au top... les hôtesses aussi (dit Edouard). Ici il est 18H alors qu'en France il est 11h du matin. Nous sommes un peu perdus quant au décalage horaire mais tout rentrera dans l'ordre une fois arrivés à Auckland.
L'aéroport d'Hong-Kong est très très très mais alors vraiment très très grand et très/trop fourni en magasins. Chose bizarre, ici les hôtesses chinoises ont des chaussures trop grandes.
Nous avons 3h de battement avant de prendre notre prochain vol alors nous nous sommes lancés un défi: trouver le gadget le plus inutile et bizarre au monde. Si on le trouve on mettra une photo et vous devrez deviner de quoi il s'agit.
Bon allez plus que 4 plateaux repas, 50 films, 73 sourires d'hôtesses et quelques heures de repos avant d'arriver.
A bientôt!

C'est parti!

| | 2 commentaires »
Merci à tous ceux qui sont venus nous dire au revoir hier soir. Nous sommes parés pour affronter les 18976 kilomètres qui nous séparent de Paris. Nous arrivons en Nouvelle Zélande le 7 novembre il sera 1h du matin en France et 13h à Auckland. Nous vous donnerons des nouvelles dès que possible!